Cancer du sein : quels retentissements sur la sexualité ?

Octobre rose
Photo by Angiola Harry on Unsplash

Le cancer du sein est le cancer féminin le plus fréquent, avec un pronostic vital qui a longtemps été assez sombre. Mais depuis 2008, grâce à un diagnostic et une prise en charge thérapeutique précoce, la Haute Autorité de Santé (HAS) note une diminution du taux de mortalité de 1,3 % par an1.

Malheureusement, même si on survit désormais beaucoup plus à ce cancer, et même si la qualité de vie générale des femmes qui ont survécu au cancer du sein est comparable à celle des groupes de contrôle, la vie sexuelle fait exception2.

De plus, les effets du cancer du sein, ainsi que ses traitements, ne sont pas sans conséquences, avec une répercussion qui n’est pas négligeable sur la sexualité.

Qu’est-ce que le cancer du sein ?

Le sein est constitué d’une glande mammaire et de tissus conjonctifs permettant le soutien de la graisse, des ligaments, du champ veineux et lymphatique.

Les glandes mammaires disposent de petites cavités comprenant des canaux galactophores et des lobules intervenant dans la circulation du lait maternel jusqu’au mamelon.

Vue en coupe anatomique et schématique d'un sein
Vue en coupe anatomique et schématique d’un sein Medical Illustrations by Patrick Lynch, generated for multimedia teaching projects by the Yale University School of Medicine, Center for Advanced Instructional Media, 1987-2000 1 Cage thoracique 2 Muscles pectoraux 3 Lobules 4 Surface du mamelon 5 Aréole 6 Conduit galactophore 7 Tissu adipeux 8 Peau

Les différentes formes du cancer du sein 

On distingue deux types de cancers3 :

  • Les cancers in situ (ou non-infiltrant), qui concernent uniquement les canaux ou les lobules.
  • Les cancers infiltrants, qui concernent les canaux ou les lobules puis s’étendent sur les tissus environnants et peuvent former des métastases dans le reste du corps.

Le cancer du sein regroupe différents cancers. Les plus fréquents sont :

  • Le cancer canalaire in situ, qui concerne 95 % des cancers du sein et 9 femmes sur 10. Les cellules cancéreuses se situent au niveau des lobules ou des canaux galactophores.
  • Les adénocarcinomes infiltrants, qui sont diagnostiqués lorsque les cellules cancéreuses ont atteint les différents tissus du sein entourant principalement les canaux canalaires et lobulaires.

D’autres formes sont plutôt rares :

  • La maladie de Paget est un carcinome de haut grade qui se manifeste par une plaque semblable à de l’eczéma ou du psoriasis au niveau du mamelon et de l’aréole.
  • La néoplasie lobulaire in situ concerne 10% des femmes. Les cellules cancéreuses se concentrent dans les canaux lobulaires.
  • Les carcinomes (tubulaire, mendulaire, mucineux…) affectent les cellules épithéliales du sein. Ces cancers touchent principalement les femmes âgées de plus de 50 ans.
différents types cancer sein
Les différentes formes de cancer du sein

Le diagnostic

La plupart du temps, le cancer du sein s’identifie par une masse au niveau des seins ou de l’aisselle4. Il est possible de constater une modification de l’aspect de la peau ou de la forme du sein et/ou du mamelon.

D’autres symptômes sont relatifs à cette pathologie comme :

  • une faiblesse musculaire et des douleurs osseuses ;
  • des nausées associées à une perte d’appétit et à une perte de poids ;
  • un essoufflement quotidien et une toux fréquente ;
  • une accumulation de liquide autour des poumons (épanchement pleural) ;
diagnostic du cancer du sein
Le diagnostic du cancer du sein

Le diagnostic repose sur un interrogatoire clinique puis par la palpation des seins et des aires ganglionnaires. Une mammographie et une échographie permettent de connaître le type de cancer et d’évaluer son stade. Le diagnostic est confirmé par une ponction cytologique (prélèvement au niveau de la masse) et un examen anatomopathologique.

Auto-examen des seins.
Source : Doctissimo

L’importance de la prise en charge de la sexualité dans le cancer du sein

Les troubles sexuels surviennent dès l’annonce du cancer et persistent plusieurs années après le traitement.

Une enquête nationale menée en France sur 1955 individus sexuellement actifs, a montré que deux ans après un diagnostic de cancer, la majorité des personnes qui étaient sexuellement actives ont vécu une détérioration de leur santé sexuelle5. Parmi elles :

  • 13% ont rapporté une faible détérioration
  • 40 % ont rapporté une détérioration moyenne
  • et 30 % ont rapporté une forte détérioration dans leur santé sexuelle.

Selon une étude tunisienne, le cancer du sein pourrait provoquer une altération de la relation sexuelle chez 47% des femmes et une altération de la relation de couple dans 24,7 % des cas6, avec au niveau sexuel :

Enfin, une étude menée en Suisse a montré qu’en début de traitement, 77,4 % des femmes sexuellement actives avant leur cancer du sein ont vécu un changement significatif dans leur vie intime et sexuelle. Ce changement consiste notamment dans une baisse de la fréquence (41,9 %) ou un arrêt complet de toute activité sexuelle (35,5 %). Ces femmes ont vécu aussi des changements qualitatifs, comme une perte de spontanéité pendant les rapports sexuels, un sentiment de honte et de peur du regard de l’autre, des comportements d’évitement. En outre, 58,8 % des femmes qui ont arrêté toute activité sexuelle en début de traitement, restent sexuellement inactives deux ans plus tard7.

Toutes ces données montrent à quel point l’impact du cancer du sein et de ses traitements sur la sexualité représente un problème important et cela sur la durée.

Information

Les troubles de la sexualité ont une incidence sur la qualité de vie de la patiente et sur la prise en charge médicale. Ce sujet doit être abordé sans tabou afin d’assurer un accompagnement optimal.

En général, la sexualité est très peu, voire quasiment jamais abordée au cours d’un suivi médical, et encore moins en oncologie8.

Les études montrent en effet que les professionnels abordent rarement le sujet, laissant ainsi les patients avec un besoin important d’informations, de stratégies pratiques et de soutien. Ceci est particulièrement vrai dans la période qui suit immédiatement le diagnostic et en début du traitement, lorsque la guérison et la survie sont considérées par les professionnels comme la priorité.

Souvent, la sexualité n’est pas non plus la première préoccupation des patients au moment où la maladie se déclare. Il peut même leur sembler paradoxal d’en parler, la priorité étant porté sur les soins et la guérison9.

Cependant, il est important de mettre en lumière l’impact négatif que peut entrainer le fait d’ignorer cet aspect de la consultation.

  • Tout d’abord, la sexualité contribue au bonheur, à l’épanouissement et au mieux-être. Les rapports intimes participent au maintien de la santé physique et psychologique. Ces avantages doivent être maintenus pour permettre à la patiente de faire face à son cancer et de rester optimiste quant à ses chances de guérison.
  • Ensuite, la maladie implique une prise médicamenteuse journalière associée à des traitements intenses pouvant entraîner fatigue, baisse de moral et baisse de libido. Les femmes souffrantes d’un cancer du sein doivent connaître les effets indésirables pouvant avoir un impact sur leurs relations amoureuses et sur leurs qualités de vie en général. 
  • La frustration de ne pas avoir une vie sexuelle accomplie peut dégrader considérablement l’adhésion aux traitements. La patiente devient plus réfractaire à suivre les recommandations et les préconisations du médecin. Encore plus grave, la patiente peut refuser d’effectuer des examens complémentaires ou ne plus se présenter à ses séances de chimiothérapie ou de radiothérapie.
  • Enfin, les difficultés non exprimées dans le domaine de la sexualité contribuent au maintien de difficultés sexuelles qui continuent à se renforcer avec le temps10

Pour toutes ces raisons, il est essentiel d’intégrer au plan de soin une dimension sexuelle.

Les femmes souffrantes d’un cancer du sein ont besoin d’être conseillées, informées et écoutées afin de prévenir certaines négligences médicales.

Ce sujet ne doit plus être un tabou dans une discussion entre soignant-soigné.

Cette démarche permettra de soulever toutes problématiques et de proposer un suivi médical complémentaire auprès de spécialistes (sexologue, psychologue…).

Les traitements du cancer du sein responsables de dysfonctions sexuelles

Bien que bénéfique, les traitements proposés sont souvent lourds et de longue durée. Ces derniers ont des retentissements non-négligeables sur la qualité de vie et la sexualité.

Impact des traitements du cancer du sein sur la sexualité

La chimiothérapie

La chimiothérapie consiste à administrer des médicaments cytotoxiques par voie intraveineuse (perfusion) ou plus rarement par voie orale sous forme de comprimés. Cette pratique médicale a pour but de détruire les cellules cancéreuses et d’inhiber leurs multiplications cellulaires.

La plupart du temps, ce traitement est proposé avant ou après une chirurgie si le risque de récidive est trop important ou si les métastases peuvent affecter d’autres régions du corps.

Si la chimiothérapie choisie par le corps médical agit en détruisant les globules blancs, il est préférable d’éviter les relations sexuelles pendant la période de neutropénie sévère afin de limiter les risques d’infection. D’autre part, il est souvent recommandé d’avoir des relations protégées durant les 4 à 7 jours suivant l’administration de la chimiothérapie afin d’éviter d’exposer le/la partenaire aux produits pouvant potentiellement se retrouver dans les sécrétions corporelles. Il s’agit toutefois de précautions arbitraires et la « contamination » semble peu probable.

La chimiothérapie a pour effets secondaires de provoquer de la fatigue, des nausées et une alopécie temporaire. Parmi ces symptômes indésirables, on observe également une sécheresse importante de la peau et des muqueuses. La sphère génito-anal est particulièrement touchée.

La baisse de production d’œstrogènes est responsable d’un manque de lubrification au niveau du vagin et de l’anus pendant un cancer du sein.

Les patientes sont alors confrontées à diverses problématiques gynécologiques. Certaines expriment des douleurs pendant la pénétration. En effet, le manque de lubrification entraîne un échauffement et une inflammation des muqueuses vaginales.

D’autres constatent des inconforts quotidiens comme des démangeaisons, des irritations et des brûlures. La chimiothérapie induit une difficulté à atteindre l’orgasme et à approuver une excitation sexuelle.

La paroi vaginale est particulièrement sensible pendant cette thérapie. Il convient d’en parler à son médecin. Celui-ci pourra conseiller et orienter dans le choix d’un lubrifiant intime.

L’hormonothérapie

Certains cancers du sein sont dits ‘’hormonodépendants”. C’est-à-dire que les cellules cancéreuses se développent par l’action des hormones produites naturellement par l’organisme. L’hormonothérapie vise à administrer un traitement à l’ensemble du corps afin d’inhiber l’action stimulante des hormones sur les cellules cancéreuses à moyen ou long terme.

Les médicaments sont généralement des anti-œstrogènes. Le tamoxifène est la principale molécule utilisée dans le cadre d’un cancer du sein hormonosensible.

L’hormonothérapie est grandement bénéfique. Cette thérapie médicale permet de freiner l’évolution de la maladie et d’augmenter les chances de survie. Bien qu’elle améliore la qualité de vie des patientes, les substances actives des médicaments administrés provoquent bien souvent des effets indésirables semblables à la ménopause.

En effet, l’hormonothérapie induit des bouffées de chaleurs, des maux de tête associés à une perturbation des cycles menstruels.

Puisque les œstrogènes jouent un rôle majeur pour la libido et la fonction des organes génitaux féminins, la prise d’anti-estrogènes entraîne une baisse de libido, des pertes blanches (leucorrhées) et des démangeaisons importantes au niveau de la vulve.

Pendant cette phase thérapeutique, il est conseillé de consulter régulièrement son gynécologue. Celui-ci pourra déceler rapidement une infection vaginale, si c’est le cas, et proposer des solutions pour améliorer le confort intime.

Information

Dans une étude portant sur 336 patientes, le fait de continuer à prendre le traitement anti-oestrogène au bout d’un an était significativement influencé par l’impact de l’hormonothérapie sur la sexualité. Or, on sait que le fait de manquer seulement 10% des prises de traitement augmente le risque de rechute de 1,6 fois.

La radiothérapie

La radiothérapie consiste à cibler et à envoyer des rayons sur les cellules cancéreuses afin de les détruire. Ce traitement peut être utilisé à différentes étapes du cancer du sein :

  • Avant une chirurgie afin de réduire la taille de la tumeur ;
  • Après une chirurgie afin de limiter les risques de récidive ;

La radiothérapie peut être à l’origine d’effets indésirables au niveau des seins comme :

  • un changement de la couleur de peau au niveau du mamelon ou de l’aréole ;
  • une sécheresse cutanée ;
  • une modification de la forme du sein ;
  • une gêne sensitive.

Ces modifications physiques peuvent altérer l’image corporelle11. Il est possible que la patiente n’apprécie plus sa poitrine en se regardant dans le miroir ou que le sentiment de dégoût qu’elle a vis-à-vis de son corps empiète sur son désir sexuel.

La chirurgie

La chirurgie est le traitement principal du cancer du sein. L’intervention consiste à retirer les tissus touchés par les cellules cancéreuses. Deux chirurgies peuvent être pratiquées :

  • La tumorectomie est une opération qui consiste à retirer une partie du sein affectée par la tumeur.
  • La mastectomie est pratiquée lorsque le risque de récidive est élevé et qu’il n’y a aucune autres alternatives médicales. L’opération consiste à retirer l’intégralité du sein comprenant les tissus, le mamelon et l’aréole.

Ces interventions sont psychologiquement et physiquement difficiles à accepter. Généralement, les femmes ont l’impression de perdre une part de leur féminité. L’image corporelle est bien souvent perturbée. Cette perte d’appréciation physique a des répercussions sur la vie sexuelle du couple et une incidence sur le quotidien11.

Les femmes se sentent honteuses de leurs corps. Elles ont du mal à se regarder nues dans le miroir. Elles n’osent plus se toucher ni se laisse toucher par leurs partenaires. Ce complexe physique à une répercussion sur le désir, la libido et les rapports sexuels. 

Par qui et quand aborder la question de la sexualité ?

La sensation de ne pas être suffisamment formés, de manquer de temps, l’absence d’un lieu adéquat, la crainte d’être intrusif et l’embarras retiennent souvent les professionnels d’aborder le sujet de la sexualité12.

Toutefois, pour la majorité des patientes, une information sur la maladie et sur les éventuels effets indésirables des traitements sur la sexualité serait déjà suffisant13. Les soignants le font déjà pour les autres aspects de la maladie et les autres effets indésirables.

Si le sujet est abordé périodiquement, les patientes savent qu’il y a possibilité de discussion. Si elles ne souhaitent pas l’aborder sur le moment, elles pourront le faire plus tard.

Il est également possible, et même recommandé, pour les professionnels de santé qui le souhaitent, de s’inscrire à un D.I.U de sexologie. Certains permettent en un an d’acquérir les bases pour aborder sans crainte la question de la sexualité avec les patients, d’autres durent 3 ans et offrent une formation complète pour ceux qui souhaitent acquérir les compétences nécessaire à la prise en charge des troubles sexuels.

Parfois, les difficultés de couple, le retentissement sur la sexualité, peuvent avoir des origines complexes et nécessiter une prise en charge spécialisée.

Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à adresser la patiente à un sexologue

On peut y aller seul ou en couple, sachant qu’à deux c’est mieux. Environ deux tiers des sexologues sont des médecins (avec une majorité de généralistes, ou psychiatres, gynécologues, endocrinologues, urologues et sages-femmes). Le tiers restant se compose de psychologues, thérapeutes, kinésithérapeutes, conseillers conjugaux, hypnothérapeutes.

Conseils pour retrouver une sexualité épanouie pendant ou après un cancer du sein

Il est essentiel de maintenir une communication avec les médecins afin de leur faire part de ses problématiques et de ses sentiments. Le soutien psychologique est très important pendant cette période. 

Si vous avez l’habitude de vous montrer forte auprès de vos amis ou de votre famille, il est important de lâcher-prise. Exprimez votre colère, vos peurs, vos incertitudes, vos craintes, vos doutes… Tout ce qui vous ronge de l’intérieur et qui détruit votre santé mentale. Le mal-être est souvent responsable d’une baisse de désir sexuel.

Si vous êtes en couple, faites part de vos blocages physiques et de vos émotions à votre partenaire. Parlez-lui de la vison que vous avez de votre corps ou des troubles sexuels que la maladie induit. Cette confidence est essentielle pour limiter les conflits, les tensions et les incompréhensions. Votre partenaire pourra vous soutenir et vous aider à retrouver confiance en vous. Ensemble, vous trouverez une solution pour mieux appréhender les rapports sexuels.

Si vous êtes célibataire, rapprochez-vous d’une personne de confiance (meilleure amie, famille…) Ne restez pas dans isoler avec vos pensées négatives. Et surtout, continuez à sortir et à vouloir rencontrer l’amour. Vous allez sûrement croiser un homme ou une femme qui vous acceptera comme vous êtes.

Pensez à vous ! Abusez des soins de beauté, des massages et obtenez un rendez-vous avec une socio-coiffeuse. Celle-ci pourra vous conseiller dans le choix de perruques ou de turbans à porter pour sublimer votre visage.

Vous pouvez également faire appel à un coach en image pour vous réapproprier votre corps et vous aider à vous revaloriser. Si vous avez subi une mastectomie, le coach pourra vous accompagner dans le choix de vêtements et de lingerie pour mettre en valeur votre décolleté.

Pour conclure, le cancer du sein engendre des troubles sexuels qu’il est nécessaire de prendre en charge pour maintenir son capital santé. Le sujet doit être abordé avec le médecins, mais aussi avec son, sa ou ses partenaire(e) pour trouver des solutions adaptées.

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Références

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  2. Mattias Neyt et Johan Albrecht, « The Long-Term Evolution of Quality of Life for Disease-Free Breast Cancer Survivors: A Comparative Study in Belgium », Journal of Psychosocial Oncology 24, no 3 (novembre 2006): 89‑123, https://doi.org/10.1300/J077v24n03_05[]
  3. Référentiels de l’AP-HP – Cancers du sein – Mars 2016. https://www.aphp.fr/sites/default/files/referentiel_cancers_du_sein_-_juin_2016_1.pdf[]
  4. https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-sein/Symptomes[]
  5. Ali Ben Charif et al., « Sexual Health Problems in French Cancer Survivors 2 Years after Diagnosis—the National VICAN Survey », Journal of Cancer Survivorship 10, no 3 (juin 2016): 600‑609, https://doi.org/10.1007/s11764-015-0506-3[]
  6. F. Ellouz et al., « Dysfonction sexuelle chez 100 femmes tunisiennes atteintes d’un cancer du sein », Sexologies 28, no 1 (janvier 2019): 43‑48, https://doi.org/10.1016/j.sexol.2017.12.004[]
  7. S. Cairo Notari et al., « Women’s Experiences of Sexual Functioning in the Early Weeks of Breast Cancer Treatment », European Journal of Cancer Care 27, no 1 (2018): e12607, https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/ecc.12607[]
  8. Anne Brédart, Carole Bouleuc, et Sylvie Dolbeault, « Doctor-Patient Communication and Satisfaction with Care in Oncology »:, Current Opinion in Oncology 17, no 4 (juillet 2005): 351‑54, https://doi.org/10.1097/01.cco.0000167734.26454.30[]
  9. S. Barni et R. Mondin, « Sexual Dysfunction in Treated Breast Cancer Patients », Annals of Oncology 8, no 2 (février 1997): 149‑53, https://doi.org/10.1023/A:1008298615272[]
  10. Baize N et al., « [Femininity and Breast Cancer, Original Approach of Announcement in Oncology]. », Bulletin Du Cancer 95, no 9 (1 septembre 2008): 849‑57, DOI : https://europepmc.org/article/med/18829418[]
  11. Pat Fobair et al., « Body Image and Sexual Problems in Young Women with Breast Cancer », Psycho-Oncology 15, no 7 (juillet 2006): 579‑94, https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/pon.991[][]
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  13. Netgen, « Sexualité après un cancer du sein: un sujet non tabou », Revue Médicale Suisse, consulté le 15 octobre 2020, https://www.revmed.ch/RMS/2018/RMS-N-598/Sexualite-apres-un-cancer-du-sein-un-sujet-non-tabou[]