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Rentrée étudiante
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Étudiants : une sexualité à risques ?

Deux étudiants sur dix pensent que l’on guérit aujourd’hui facilement du sida. C’est ce que révèle l’enquête santé des étudiants réalisée en 2019 par OpinionWay pour HEYME, assurance dédiée aux jeunes. L’étude montre aussi que moins d’un étudiant sur deux utilise systématiquement un préservatif.

Le risque de contamination aux maladies et Infections Sexuellement Transmissibles (IST) n’est pas pris assez au sérieux par les étudiants. Alors que 56 % d’entre eux déclarent ne pas utiliser de préservatif à chaque rapport sexuel, 21 % ne se font jamais dépister contre le VIH et les infections sexuellement transmissibles en cas de changement de partenaire. Pourquoi ? Toujours selon les résultats de l’étude OpinionWay menée en 2019 pour HEYME : 42 % font ce choix car ils estiment ne pas avoir pris un risque suffisant, 21 % parce qu’ils ne savent pas où faire ce type de test. 19 % ne se font pas dépister car ils n’ont pas le temps, 16 % parce qu’ils n’aiment pas les prises de sang et 9 % car ils pensent que cela coûte cher. Plus inquiétant : 10 % préfèrent ne pas savoir s’ils sont porteurs ou non du VIH.

Un problème de santé publique
En n’utilisant pas toujours de préservatifs tout en ne passant pas par la case dépistage, ces jeunes font courir des risques à leurs partenaires. De plus, ils ne bénéficient pas de soins en cas d’infection. La chlamydia, qui est souvent asymptomatique, se soigne par exemple facilement mais peut rendre stérile si elle n’est pas traitée à temps.

Contracter le VIH par un baiser…
De fausses croyances persistent par ailleurs concernant le sida : 19 % des jeunes interrogés pensent que ce virus peut se transmettre par une piqûre de moustique et 12 % en embrassant quelqu’un. Au total, 33 % des étudiants ont de fausses croyances sur les modes de transmission. Par ailleurs, 19 % des étudiants pensent que l’on guérit aujourd’hui facilement du sida.

Une sensibilisation active nécessaire
Le développement de la PrEP, traitement médicamenteux pour prévenir l’infection par le VIH, comme celui de traitements de « trithérapie d’urgence » ajoutent encore à la confusion quant aux risques actuels face au sida. Les informations sont disponibles sur Internet, mais il faut faire le tri entre celles qui sont fiables, à jour, et celles qui ne le sont pas. Surtout, il faut vouloir aller chercher ces informations… Les tendances révélées par cette étude montrent que la sensibilisation des jeunes est indispensable. Le besoin d’informations délivrées par un interlocuteur fiable, qui sait s’adresser au public jeune et va vers lui, est prégnant.

HEYME accompagne et conseille les jeunes
HEYME s’est donné pour mission de poursuivre les engagements en faveur de la prévention et promotion de la santé déjà institués par ses aînés, la SMEREP et la MEP. HEYME assure un dialogue préventif avec les jeunes sur le terrain, dans les facs et les écoles mais aussi lors de soirées étudiantes. Assureur, HEYME est aussi un éclaireur actif, qui accompagne et conseille les jeunes dans leur parcours de vie.

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