Catégorie : Recherche en santé sexuelle - Page 2 sur 3 - Sexoblogue
Qu’elle soit légère, amusante ou alarmiste, la recherche en lien avec la sexualité fleurit tous les jours dans les journaux scientifiques.
Les jeunes hommes gay et bisexuels ont six fois plus de risque suicidaire que leurs homologues plus âgés
Les jeunes hommes gays et bisexuels sont à risque significativement plus élevé de mauvaise santé mentale que les hommes âgés de ce groupe, selon une nouvelle étude, qui est la première à examiner les différences de santé mentale dans les hommes gais et bisexuels au Royaume-Uni.Quand l’amour fait mal après la grossesse
Seulement 14 % des femmes ne se plaignent pas de dyspareunies à la reprise des rapports après l’accouchement ; il est donc important de les informer au mieux de cette particularité du post-partum et ce quelle que soit la voie d’accouchement.A quand l’égalité du sexe oral ?
Une étude canadienne révèle une inéquité de répartition des gâteries orales dans un couple (provisoire ou non), aux dépend des femmes qui font, une fois de plus, les frais de cette inégalité.La caféine entrainerait une diminution des troubles de l’érection
D’après une étude menée par l’Université des Sciences du Texas, les hommes qui boivent 2 à 3 tasses de café par jour sont moins susceptibles de connaitre des troubles de l’érection1. Les hommes ayant consommé entre 85 et 170 milligrammes de caféine par jour ont 42% de chance en moins de souffrir d’impuissance. Les résultats de cetteLire la suite
L’addiction à la cybersexualité entraîne des dysfonctions érectiles
Une enquête en ligne réalisée à Louvain montre que plus les consommateurs de cybersexualité sont accros, plus ils éprouvent un sentiment de honte et plus ils visionnent des contenus extrêmes. Leur addiction est souvent corrélée à des difficultés érectiles. La motivation principale de leur conduite est particulièrement liée à la gestion de leurs émotions.Trop de porno tue le cerveau
Selon des travaux allemands publiés aux États-Unis, les hommes qui passent beaucoup de temps à regarder de la pornographie sur internet paraissent avoir moins de matière grise dans certaines parties du cerveau et une activité cérébrale réduite.Il existe un lien entre douleurs pelviennes et antécédent d’agression
Source : jim.fr Un quart des patientes souffrant de douleurs pelviennes chroniques ont été victimes d’agression sexuelle ou de violence. Un cadeau spécial pour vous ! Vous êtes professionnel de santé ?Vous cherchez des outils pour intégrer la santé sexuelle à vos consultations ? Recevez gratuitement notre mini-formation « Comment aborder la sexualité avec lesLire la suite